Le chemin vers votre bien-être commence ici!

Je suis né le 14 novembre 1979 à Genève. En plein Scorpion. Vous sentez déjà le truc, non ? 

Ce genre de signe astrologique qui fait dire à certaines : “Ahhh... voilà pourquoi t’es intense.” Spoiler : elles n’avaient aucune idée.

Très tôt, on a compris que j’étais “différent”. Bon, à l’époque, on n’avait pas encore Instagram pour le dire fièrement avec des filtres flous et des citations de Paulo Coelho. On disait juste : “il bouge beaucoup, non ?” ou “il parle tout seul mais il a de l’imagination, hein !”.
J’étais ce qu’on appelle aujourd’hui un “hypersensible multipotentiel borderline avec un cœur de lumière et un mental de jungle”. À l’époque, on appelait ça : un enfant fatiguant.

Diagnostiqué d’une adolescence précoce – une pathologie non reconnue par l’OMS mais bien identifiée par les profs qui n’arrivaient pas à me canaliser – j’ai passé mon enfance à me battre avec mes émotions comme d’autres avec leur petit frère : avec passion, violence et un fond d’amour inavoué.
Ajoutez à ça un cocktail maison de TDAH, d'hyperactivité et de curiosité maladive, et vous obtenez une machine à vivre toutes les vies... en même temps.

Déménagements, sports, passions, jobs... Snowboard l’hiver, DJ l’été, graphiste insomniaque le reste du temps. J’ai fait de l’architecture, de l’événementiel, de la télé. J’ai goûté à tout. Comme si j’essayais désespérément de trouver la pièce du puzzle, alors que j’étais, en fait, le puzzle entier.

Mais derrière cette frénésie, il y avait ce truc que je ne savais pas nommer. Ce ressenti de l’invisible, ce frisson étrange quand quelqu’un entrait dans une pièce, ce poids au creux du ventre quand un lieu vibrait “bizarrement”. J’ai compris, bien plus tard, que c’était du magnétisme. Pas celui des aimants. Celui qui palpite dans nos mains, dans notre cœur, dans l’espace entre deux regards.

J’ai découvert les chakras comme on ouvre des fenêtres dans une maison qu’on croyait abandonnée : avec prudence, émerveillement, et un peu de poussière.

Et puis, les connexions ont commencé. Pas sur LinkedIn. Non. Des connexions avec “ceux qui ne sont plus là”, mais qui continuent, parfois, de souffler des messages quand on a l’oreille (et le cœur) ouverts.

Ces présences, discrètes mais intenses, influencent parfois mes tirages. Une carte qui tombe “par hasard”, un frisson qui me traverse pendant une séance... Quand le voile s’amincit, ce n’est pas du spectacle. C’est de l’émotion brute, canalisée pour aider.

Car au cœur de tout ça, de mon travail, de ma mission, de ma façon d’être au monde, il y a l’émotionnel. Ce grand mal-aimé de notre société logique. Ce flux sauvage que j’ai longtemps tenté de fuir ou de contenir... avant de comprendre qu’il était mon principal outil de soin.

Aujourd’hui, quand j’accompagne quelqu’un, je ne cherche pas à le réparer. Je ne suis pas un garagiste de l’âme. Je tends juste un miroir (parfois sale, souvent franc), j’écoute les silences, je ressens ce qui circule... ou pas. J’accueille les larmes comme des perles, les frissons comme des guides. Je tire les cartes, je touche, je parle un peu, mais je vibre beaucoup.

J’ai vécu mille vies dans une seule. Et si je peux aujourd’hui transformer ce chaos en chemin, ce bordel en boussole, alors tout ce parcours de “gamin trop intense” à thérapeute aimant et vibrant prend tout son sens.

Je vous accompagne dans l'exploration d'une vie plus douce, plus alignée, où chaque moment devient une invitation à vivre pleinement en accord avec votre véritable nature. Le potentiel de guérison est déjà en vous – il suffit de le révéler.